Aujourd’hui encore, avec l’Atelier Végétal, je vous entraîne dans un fabuleux monde…
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Les produits laitiers, on l’a vu, c’est has been ! Souffrance animale, danger pour la santé, impact écologique… Bref, pas besoin d’en rajouter, on le sait : mieux vaut s’en passer. Je vous avais montré la semaine dernière comment le lait et la crème fraîche de cajou pouvaient parfaitement remplacer leurs équivalents laitiers, et bien maintenant, c’est au tour des fromages.
A votre avis, pourquoi les végétariens ont autant de difficultés à devenir végétalien ?…
Je vous le donne dans le mille, c’est la faute aux fromages !
Plus jeune, je mangeais du fromage à chaque repas. Le plat principal était, déjeuner comme dîner, invariablement suivi du fameux plateau de fromages : cinq ou six bêtes au choix, variant du bleu le plus corsé au reblochon le plus crémeux. Bref, le fromage, c’était une étape obligée de mes journées culinaires et plus il y en avait, mieux c’était. Aujourd’hui et depuis plusieurs années, voir un fromage ne me met pas dans des états seconds. Au mieux, il me laisse indifférente, au pire, son odeur me repousse et ses moisissures me dégoûtent. Bref, le fromage, ce n’est plus pour moi… mais comment ai-je fait pour me libérer ?
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Pourquoi est-il difficile d’arrêter le fromage ?
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Si cela peut rassurer les végétariens en transition, ce n’est pas tant de leur faute s’ils ne parviennent à se passer de fromage… mais celle du fromage lui-même ! C’est ce que les Dr. Lisle et Goldhamer appellent le ‘Pleasure Trap’ / Piège du Plaisir.
En effet, le fromage ferait partie des aliments les plus addictifs qui soient. Quand on parle d’addiction, on pense souvent à la cocaïne, l’alcool ou encore le tabac… Et pourtant, les drogues les plus répandues ne sont pas celles que l’on croit : viande, chocolat, sucre et fromage sont celles auxquelles nous sommes le plus dépendant au quotidien, et si nous sommes aveugles à ce caractère addictif, c’est parce que nous en mangeons tout le temps : l’addiction est en permanence satisfaite.
Mettons que vous vous leviez au beau milieu de la nuit, stressé, vous n’arrivez pas à dormir, vous n’avez qu’une idée fixe : manger. Et pas n’importe quoi : vous avez souvent des cravings pour des bâtons de carotte la nuit ? De la salade verte ? Non plus ?.. Des endives, peut-être ? Toujours pas ?.. Très bien, et si je dis : chocolat ou fromage ? Vous savez, un bon fromage bien fondu, coulant, crémeux, sur des pâtes encore fumantes… Ok, vous voyez que, s’il est difficile d’être accro à la mâche ou au brocoli, on peut l’être sans hésiter à la crème glacée au coulis triple chocolat ou à une pizza géante aux quatre fromages.
Ceci n’est pas étonnant. Selon le Comité américain des Médecins pour une Médecine Responsable (PCRM), le fromage est addictif, au même titre que le tabac ou l’héroïne. En 1981, une étude menée par les Wellcome Research Laboratories a découvert que le lait contiendrait de la morphine. Plus précisément, il contient de la caséine, une protéine qui se divise durant la digestion et génère des opiacées (un type de substance contenu dans l’opium ou ayant un effet similaire), les casomorphines. Selon le PCRM, l’une d’entre elles posséderait un dixième du pouvoir analgésique de la morphine. Remis dans son contexte, cela se comprend : ces substances, contenues dans le lait maternel, ont un effet relaxant et réconfortant pour le nourrisson, et pour conséquence l’attachement du bébé à la tétée.
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A forte dose, comme c’est le cas pour le fromage (un verre de lait contient 6 g. de caséine, soit 3 à 5 fois plus pour le fromage), ces substances ont un effet d’addiction bien supérieur. Il n’est donc pas étonnant que l’on ait du mal à se passer de fromage ! La dépendance n’est pas seulement psychologique ou culturelle, mais physiologique. Le PCRM cite même des tests au naloxone, un médicament bloquant les effets de la morphine et utilisé pour le sevrage des drogues dures, au cours desquels les participants traités perdent leur envie de fromage.
D’ailleurs, le fromage contiendrait également une substance chimique similaire aux amphétamines, la phényléthylamine, un stimulant physique et psychique qui donne l’illusion de supprimer la fatigue. La consommation d’amphétamines est ponctuée de ‘descentes’ qui induisent un état de découragement ou de dépression. Notons que cette substance est également contenue dans la viande…
Un remède ?..
Se sevrer ! On dit souvent que, pour devenir végétarien ou végétalien, il faut y aller progressivement… et effectivement, pour se défaire d’une dépendance, mieux vaut y aller en douceur. Diminuez petit à petit votre dose d’addiction quotidienne et laissez ensuite votre organisme faire son travail pour perdre toute dépendance physiologique. Pour l’alcool, il suffit de 7 jours ; pour la nicotine, entre 15 et 21 jours. Et pour le fromage ? Au minimum 3 semaines selon le PCRM ! Donc, le mieux, c’est d’arrêter en douceur et puis de ne pas craquer pendant ce temps…
Moi, je crois que le mieux pour s’en passer sans trop souffrir, c’est de se lancer très vite dans les fromages végétaux !
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Je vous avais déjà présenté un petit fromage vite fait bien fait, ma ricotta végétale, à base de lait de soja, et c’est au tour maintenant des fromages de cajou ! Vous allez, voir, comme pour mes recettes de laits et crèmes, c’est ultra facile.
Mon but ici est de vous apprendre à faire vos propres fromages de cajou (ou d’autres oléagineux) : je vous propose donc 4 manières de les préparer, avec une infinité de variantes possibles à chaque fois, toujours pour 100 g. de noix. Il y en a pour tous les goûts !
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Fromage frais de cajou
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Pour un fromage de 125 g.
Ingrédients :
- 100 g. de noix de cajou nature (non grillées et salées)
- 2 à 3 CàS d’eau
- 1 belle pincée de sel
- le jus d’un (petit) 1/2 citron
- accompagnement au choix : herbes (thym, romarin, aneth, basilic, ciboulette…) graines (fenouil, coriandre, pavot, poivre…), fruits & légumes séchés (tomates, raisins, figues, ail, oignon…)
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Préparation :
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- 2 à 8 h à l’avance, mettez à tremper vos noix dans un bol d’eau.
- A l’aide d’une passoire, rincez-les bien en les passant sous l’eau du robinet. Egouttez-les.
- Ajoutez l’eau, le sel et le jus de citron et mixez jusqu’à obtention d’une crème homogène.
- Ajoutez ensuite vos accompagnements, mélangez bien et servez.
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Vous obtenez ici un fromage frais à tartiner qui se conserve 4-5 jours au réfrigérateur (ou plus…). C’est la base de la base : libre à vous ensuite de lui donner une texture différente, en l’essorant à l’aide d’une étamine (comme ici), ou bien en suivant les indications que je vais vous présenter maintenant.
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Deuxième recette : deuxième manière de préparer un fromage de cajou.
Ici, deux variantes combinées = texture plus ferme + goût plus fort.
Pour obtenir une texture plus ferme, c’est simple : il faut ajouter un peu d’agar-agar. Comme toujours, l’agar-agar se dilue dans une petite quantité d’eau que l’on fera bouillir une minute environ. On mixe d’abord les noix et puis, au dernier moment, on ajoute cette eau agarisée. Un petit coup de mixeur et zouuu, on met au frais et c’est prêt !
Pour un goût plus fort, proche de celui de certains fromages animaux, on se tourne vers les trucs et astuces de la cuisine vg : levure maltée + miso + citron + ail + oignon. Vous n’y croyez pas ? Je vous assure, c’est bluffant !
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Fromage corsé de cajou
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Pour un fromage de 125 g.
Ingrédients :
- 100 g. de noix de cajou
- 4 CàS d’eau
- 1/2 càc d’agar-agar en poudre
- le jus d’un peu moins qu’un 1/2 citron
- 1 càc de miso brun (non pasteurisé)
- 2 càc bombées de levure maltée
- 1/2 càc de poudre d’oignon (ou 1/4 d’oignon)*
- 1/2 càc d’ail en poudre*
- 1 CàS d’huile d’olive
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* Pour une saveur similaire à celle d’un fromage animal, la poudre d’oignon et la poudre d’ail fonctionnent bien mieux que l’oignon ou l’ail frais, surtout pour la poudre d’ail – ne me demandez pas pourquoi !
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Préparation :
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- 2 à 8 h à l’avance, mettez à tremper vos noix dans un bol d’eau.
- A l’aide d’une passoire, rincez-les bien en les passant sous l’eau du robinet. Egouttez-les.
- Placez tous les ingrédients hormis l’eau et l’agar-agar dans le bol de votre mixeur. Mixez de sorte à obtenir un mélange homogène.
- Dans une petite casserole, mélangez l’eau et l’agar-agar. Portez à ébullition pendant 1 min en remuant de temps en temps avec une cuillère en bois.
- Versez dans le reste de la préparation. Mixez de nouveau et versez ensuite dans un récipient préalablement huilé (pour un démoulage plus facile).
- Placez au frais au moins 1h avant de démouler.
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Vous obtenez ici un fromage ferme au goût corsé qui se conserve de nombreux jours au réfrigérateur, et dont le goût s’affine (ou se renforce !) avec le temps. Vous pouvez le couper facilement au couteau, mais il reste assez tendre pour être facilement tartiné. Pour un résultat plus ferme, ajoutez plus d’agar-agar (attention, pas trop quand même, au risque d’obtenir un bloc de béton…). Vous pouvez aussi vous passer d’agar, pour un fromage à tartiner, comme le précédent, mais au goût prononcé.
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Et maintenant, le fromage fermenté…
J’adore faire fermenter mes fromages végétaux : cela leur donne un petit caractère qui, en fonction du temps de fermentation, peut être plus ou moins prononcé… parfois au point d’obtenir une saveur semblable à celle d’un fromage animal très fort (type bleu) ! Enfin, ce n’est pas exactement pareil, et tant mieux (je n’ai jamais aimé le bleu…), mais c’est bon en tout cas ! On retient : 2 à 4h de fermentation pour un fromage doux, et 8 à 12h (voire plus) pour un fromage au goût fort.
Pour la fermentation, rien de plus simple : il faut une température assez chaude, mais pas de panique, il n’est pas obligatoire, comme pour les yaourts, de maintenir une température précise. Il suffit d’un endroit bien chaud et qui ne perde pas trop sa chaleur. J’utilise ma yaourtière, mais vous pouvez également utiliser votre four préchauffé 10 minutes à 100°C et puis éteint. Il vous suffira alors de bien emmitoufler votre récipient de fromage d’un tissu. Une bouteille thermos préalablement ébouillantée fonctionne également parfaitement. Même chose pour un déshydrateur (40°C) ou, tout simplement, la chaleur du soleil ou celle d’un radiateur !
On reprend les mêmes ingrédients que pour le fromage frais, et on y ajoute un ferment : miso, yaourt végétal, ou encore probiotiques… vous avez le choix !
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Fromage fermenté de cajou
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Pour 125 g. de fromage
Ingrédients :
- 100 g. de noix de cajou
- 2 à 3 CàS d’eau
- 1 belle pincée de sel
- le jus d’un 1/2 citron
- au choix : 1 càc de miso, 1 CàS de yaourt de soja, 1 capsule de probiotiques
- optionnel : accompagnements au choix*
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* Je mets toujours un peu de levure maltée et de poudre d’ail dans mes fromages fermentés : c’est délicieux !
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Préparation :
- 2 à 8 h à l’avance, mettez à tremper vos noix dans un bol d’eau.
- A l’aide d’une passoire, rincez-les bien en les passant sous l’eau du robinet. Egouttez-les.
- Mettez l’ensemble des ingrédients dans le bol d’un mixeur et mixez jusqu’à obtention d’une crème homogène.
- Versez dans un récipient étanche (pot à confiture…) et placez dans votre ‘fermentateur’ : yaourtière, four, thermos, soleil, radiateur… Laissez fermenter entre 2 et 24h (voire plus !)
- Laissez refroidir 1h au frais avant de servir. Pour un fromage plus ferme, égouttez-le avec une étamine.
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Ce fromage, qui se conserve de nombreux au réfrigérateur, vous permet de bénéficier des bienfaits de la lacto-fermentation, à l’action régénérante sur la flore intestinale.
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Et enfin, le meilleur pour la fin… le fromage rôti !
Sans plaisanter, même si les noix de cajou n’entraînent pas une addiction similaire à celle du fromage animal, elles sont pourtant sacrément addictives dans la recette que voilà ! La base est la même que pour un fromage frais, mais on le passe au four et, croyez-moi, ça change tout !
J’ai ajouté ici quelques graines de pavot, mais vous pouvez opter pour l’accompagnement de votre choix.
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Fromage rôti de cajou
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Pour un fromage de 125 g.
Ingrédients :
- 100 g. de noix de cajou
- 2 à 3 CàS d’eau
- 1 belle pincée de sel
- le jus d’un 1/2 citron
- un peu d’huile d’olive
- optionnel : accompagnements au choix*
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* J’y mets souvent un peu de levure maltée, de miso et de poudre d’ail.
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Préparation :
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- 2 à 8 h à l’avance, mettez à tremper vos noix dans un bol d’eau.
- A l’aide d’une passoire, rincez-les bien en les passant sous l’eau du robinet. Egouttez-les.
- Mettez tous les ingrédients dans le bol d’un mixeur, hormis l’huile d’olive et mixez jusqu’à obtention d’une crème homogène.
- Disposez dans un moule (ici, à tartelette) préalablement huilé. A l’aide d’une spatule ou de vos petits doigts, huilez le dessus du fromage.
- Placez dans un four préchauffé à 160-170°C pour 20 minutes. Finissez par 5 minutes au grill pour un résultat bien doré (mais pas cramé). Attendez quelques minutes et démoulez.
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Voici ici un exquis fromage rôti se conserve 4-5 jours au réfrigérateur. C’est le plus ferme de tous les fromages présentés ici et il est juste tellement bon qu’on se demande s’il n’y a tout de même pas un peu de morphine dans la noix de cajou…
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Et voilà, mon petit tour de table des produits ‘laitiers’ de cajou est fini ! J’espère qu’il vous aura intéressé et que vous allez désormais être nombreux à vous lancer dans la confection de fromages végétaux !
Et si vous ne mangez pas de cajou ?
Pas de panique : toutes ces recettes sont valables pour tous les autres oléagineux ! Les noix de cajou donnent vraiment la texture la plus douce et onctueuse, mais leurs copines, les amandes, noix de Grenoble, graines de courge, chanvre ou tournesol… sont plutôt douées, elles aussi ! Les goûts et textures varieront au gré des noix et graines, ainsi que des assortiments et manières de les apprêter… pour le plus grand plaisir de vos papilles !
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623 comments
[…] Source : https://antigone21.com/2014/01/23/comment-faire-des-fromages-vegetaux-le-b-a-ba/ […]
D abord merci de m eclairer sur pourquoi ce qui me manque le plus depuis que je suis au regime sans lactose et sans gluten c est le fromage… oui je confirme c est une addiction. La noix de cajou etant ma graine prefere ca tombe pile poil juste comme je suis encore dans la recherche j ai besoin de savoir ou trouver de la levure malté et quelle forme ca prend et surtout si elle contient pas de gluten?…. je crois que des que je peux je vais faire des courses moi la du coup tout de suite ah mince on est dimanche…
Je me permets de te répondre malheureusement la levure malté contient du gluten et moi aussi j’essaye de supprimer le gluten de mon alimentation et je ne sais pas par quoi la remplacer en tout cas je n’en mangerais que très peu
Bonne journée ! 😀
Une vegan
Wahouuuuu ! Merci 🙂
[…] Dans ce cas, je ne peux que vous conseiller les petites recettes fromagères du blog d’Antigone, à l’adresse suivante : https://antigone21.com/2014/01/23/comment-faire-des-fromages-vegetaux-le-b-a-ba/ […]
Ça donne envie d’essayer en tout cas ! Miam !
Question : si j’utilise des noix de Grenoble ou des amandes, faut-il les émonder avant de les mettre à tremper ?
Merci d’avance pour la réponse !
À bientôt,
O.
(végé en passe de tourner végan, tout doucement… ;^))
ça fait saliver plus qu’un fromage classique, j’ai trèèèès envie de tester, merci pour toutes ces belles découvertes !
Bonjour,
Je suis la maman d’un petit garçon allergique à la protéine de lait ET qui a un gros problème avec les textures (notamment celle de la viande). Je viens de tomber sur cette recette de fromage végétal que je trouvais génial pour essayer de trouver des alternatives, mais mon conjoint est allergique aux arachides-noix de cajous! Avez-vous déjà essayé avec d’autres noix? Est-ce possible?
Merci
Sophie
Avec tous les oléagineux, elle précise cela dans le dernier paragraphe. 🙂
Merci pour ce bel article! Je me permets de partager le lien sur mon blog 😉 J’ai fais un essai ce jour même, et c’est vraiment sympa! On va goûter plus en profondeur ce soir pour un apéro 😉
[…] Nouvelle expérience pour nous aujourd’hui! Sous l’idée de mon épouse, qui à du mal à gérer sa dépendance aux produits laitiers (qu’elle à énormément diminué), j’ai réalisé cet après-midi un Faumage à base de Cajous. Je me suis inspiré de la recette trouvé sur le blog de Antigone XXI, ici : https://antigone21.com/2014/01/23/comment-faire-des-fromages-vegetaux-le-b-a-ba/comment-page-5/#comm… […]
Bonjour,
Très heureux de découvrir ces recettes.
En existe-t-il d’autres à base d’amande ou autres graines?
Très belle journée, à bientôt
[…] frais de cajou. Vous trouverez cette recette et bien d’autres sur le blog d’Antigone XXI. J’avais parfumé le mien d’un peu de basilic frais et j’ai adoré ! C’est […]
Ouf une alternative au fromage !
Oui je débarque un peu, j’ai décidé (enfin !) d’être 100% végétarienne il y a quelques jours.
Mais j’ai bien conscience qu’être végétarien n’est pas suffisant, aussi bien au niveau éthique que environnemental et je sais qu’il faudra que je passe à une alimentation végétalienne voir à une consommation vegan un jour ! Mais j’ai besoin de temps et de faire étape par étape.
Je me suis beaucoup renseignée avant de passer le cap du végétarisme. Et ce matin je me demandais comment j’allais remplacer mon sacro-saint fromage le jour où je passerais la cap du végétalisme !
En faisant mes recherches je suis bien sûr tombée sur ce blog que je consulte de temps en temps !!!
Je ne savais pas que l’on pouvait réellement (je veux dire chimiquement et physiquement) être addict au fromage. Cela fait des mois que je ne mange quasi plus de viande et de poisson sans que cela ne me pose de problèmes mais rien que de penser au jour ou je devrais arrêter de manger du fromage ça me frustre… Je suis bel et bien addict !!!
Le fromage végétal ne remplacera pas la caséine (si j’ai bien compris) mais si cela peut en remplacer le goût et que je peux continuer à manger du fromage-végétal le matin je pense que la pilule passera mieux 😉
Alors un grand MERCI pour ce blog, toutes ces recettes et ces beaux partages. C’est très rassurant quand on se lance d’avoir des « guides ».
Bonjour Antigone,
Concernant le fromage fermenté de cajou, tu dis « Versez dans un récipient étanche (pot à confiture…) et placez dans votre ‘fermentateur’ : yaourtière, four, thermos, soleil, radiateur… Laissez fermenter entre 2 et 24h (voire plus !) ». Comment ça marche au four ? temps, température .. ??
Merci pour ton aide
Bonne journée
Delphine
[…] puis si vous n’êtes pas convaincu par le fromage frais version yogique, allez voir par ici : fromages crus, cuits, avec ou sans soja, jamais vous ne regretterez les fromages au lait […]
Merci pour le partage c’est très utile! C’est vrai que les végans sont super cool, la preuve-cajou!!
Bonsoir !
Peut-on rôtir le fromage fermenté ? Si oui, est-ce que cela apporte quelque chose gustativement parlant ?
Merci d’avance pour votre réponse 😉
Oui, si vous voulez. Il sera un peu plus fort que le fromage rôti classique.
Bonjour !
Quelle réponse matinale (ce réveil serait-il l’oeuvre d’un léger trac à l’approche de la conférence du jour…! En tout cas, je vous félicite pour votre intervention et témoignage : nous « gagnons du terrain » par des actions positives et durables, et il est encourageant d’écouter le récit d’expériences comme la vôtre.).
Je vais également poursuivre mon (déjà long !) parcours d’expérimentations culinaires, et n’hésiterai pas à partager mes éventuelles recettes « révolutionnaires »!
Excellente continuation !
La version fermentée était très acide… Il faudrait peut-être préciser un peu plus la quantité de jus de citrons… (Combien de cuillères à café, par exemple). Car tous les citrons n’ont pas la même taille ! 😉
À bientôt !
[…] Les noix de cajou, ou anacardes, fruits de l’anacardier poussent à l’extrémité de jolies pommes rouges. Après la récolte, on sépare les noix des pommes et on les fait sécher à l’ombre, parce que le plein soleil entraînerait une imprécation d’huile toxique dans la graine. De ces noix de cajou, on peut faire des fromages végétaux excellents, comme vous pouvez le voir ici. […]
Bravo pour ce texte , tout est tellement vrai .. Merci beaucoup pour toutes ces recettes qui ont l air délicieuses et que je vais tester immédiatement ..
Bonjour
cela fait 3 ou 4 fois que je fais un de ces fromages. Le souci que j’ai , c’est que je n’arrive jamais à mixer jusqu’à la consistance « purée », il reste des mini granules agglomérées entre elles…ce qui ne me convient pas…Pourriez vous me dire comment vous arrivez à mixer correctement ?
A priori, votre mixer n’est pas assez puissant : vous pouvez faire de plus grandes quantités de fromage à la fois, ce qui permettra aux lames de tourner dans davantage de matière et laissera moins de grumeaux sur les côtés. Vous pouvez également mettre à tremper vos noix plus longtemps afin qu’elles soient plus tendres.
Bonjour il faut mixer avec un moulin à café électrique. je fais toutes mes purées de noisettes ou autres avec… Bonne journée.
Brigitte
[…] Le fromage patate, disponible sur le blog – Le fromage à pizza de Season Square – Le fromage de cajou d’Antigone XXI – Les fromages de Vegan Wiz – Les fromages vegan de Marie […]
[…] Assortiments de fromages de noix (Eh oui vous avez bien vu, des fromages sans produits laitiers!) […]
[…] Recette de AntigoneXXI […]
Je trouve votre post génial, pourrais-je l’utiliser et publier les recettes sur un réseau social ?
Merci beaucoup ! Mes textes n’étant pas libres de droit, je préférerais que vous donniez un lien vers mon article à la place. Vous pouvez néanmoins utiliser une photos en référant à mon blog 🙂
Bonsoir… Essayé à l’instant le fromage de cajou à tartiner (avec de la levure maltée + du miso + de l’ail moulu)… Une tuerie. Je ne vais pas tenter de le griller maintenant car je crains de tout manger avant de le faire goûter à cher et tendre, ce qui serait dommage car j’espère bien lui prouver ainsi qu’on peut se passer des autres fromages 😉 Merci !
[…] Comment faire des fromages végétaux […]
C’est tout simplement génial, merci pour toutes ces recettes
Bonjour, Cette recette a l’air super ! Je evux arrêter le fromage, auquel je suis très dépendante, mais je suis allergique au soja et aux arachides… Un eidée ? Merci !
Ne mets pas de miso et ça ira ! (tu n’es pas allergique aux noix de cajou ?)
Miso sans soja (ça existe ?) et sauce « soja » aminos de coco ! Pour vous servir…
Je n’en suis pas sure je vais essayer merci !
Merci pour cette super recette. Je viens de réaliser le fromage de base en rajoutant juste quelques graines de fenouil (je venais de me faire une tisane) et un peu de 5 baies moulues par dessus. Le goût est addictif !
Voilà quelques mois que je consomme des noix de cajou quotidiennement, je crois que je ne risque pas d’arrêter de sitôt. J’ai hâte d’essayer la version avec poudre d’ail ou d’oignon 😉
Merci encore pour ce partage !
Végétarienne depuis 4 ans et presque Vegan depuis 2 ans, l’analyse que vous faites de la dépendance au fromage m’a tellement parlée !!!
Enfin quelqu’un qui connaît cette situation – Vegan, oui, sauf pour le fromage ! la dépendance est trop forte !
Le diagnostic est magnifiquement développé.
Comme je viens de voir un médecin qui m’a diagnostiqué des problèmes de santé venant de la consommation de fromages (!), il vient particulièrement bien à point.
L’introduction de chaque recette avant la recette est une très belle idée, c’est enthousiasmant.
Pour les recettes, il ne me reste plus qu’à essayer, mais l’envie est totale !
Merci, merci, merci
Florence
PS : je me ferais un plaisir de vous offrir un petit cadeau pour vous remercier (choisissez un petit quelque chose sur mon site http://www.kosmosparis.fr, et prévenez moi – contact@kosmosparis.fr (destiné à Florence) et ce sera avec plaisir
[…] XXI est génial! Pour voir tout ce qu’elle a écrit au sujet des fromages végétaux, cliquez ici […]
Je valide ! J’ai testé les 4 assaisonnements suivants : basilic, cumin, poivre et sauce soja. Tous très bons et très gourmands ! Celui au cumin était rôti, bonne texture. Mon mari, sceptique, a léché les ramequins !
Pour que mon Vitamix puisse broyer les 100g de cajoux, j’ai dû rajouter de l’eau.
A mon avis, si je ne dis rien à mes invités, ils prendront ça pour du St Morêt ou du Rondelé (em mieux !)
[…] Recette du fromage rôti reprérée sur le blog d’Ophélie http://www.antigone21.com […]
Hello,
Merci pour tes recettes, finalement j’ai fait un peu autrement, je voulais un goût fort mais je n’avais pas de miso non-pasteurisé et je me suis aperçu que les probiotiques véganes n’existaient tout simplement pas (d’après ce que tout les vendeurs m’ont dit ils sont soit de souche humaine, soit d’un autre mammifère mais en aucun cas non-animal et j’ai demandé autant en pharmacie qu’en magasin bio). Donc en fait pour un goût fort (et j’avoue que ça a bluffé du monde, moi le premier) j’ai tout simplement laissé les noix tremper et fermenter (ça faisait des bulles, si si ^_^) quatre jours dans la flotte avec un peu de gros sel le tout à côté d’un radiateur, ça sentait franchement pas la fraicheur le dernier jour héhé (j’ai changé la flotte à deux jour, je sais pas si c’était vraiment nécessaire mais j’ai suivi mon instinct), puis après égouttage, j’ai tout mixer avec des herbes fraiches (persil, coriandre, ail des ours), ail, oignon (d’ailleurs pour la prochaine fois, plutôt que d’utiliser des copeaux déshydratés – j’ai pas trouvé en poudre – , ça vaudrait carrément le coup d’en mettre des fraichement caramélisés à la poêle) etc.. J’ai aussi ajouté un peu d’agar-agar mais je ne sais pas si ça a vraiment fait une différence vu que ça restait encore facilement tartinable. Sinon, une fois démoulé, j’ai mis sur le dessus, des cerneaux de noix et des fines tranches d’abricot sec c’était top (en faisant tremper d’autres fruits secs et en les incluant directement au mixage ça peut sans doute le faire aussi, à tester), j’aurais pu rajouter un coulis de fruit rouge ou un sirop, peut être même un peu de cacao sans sucre. J’en ai fait un second saupoudré de paprika et de piment doux fumé avec un poil de curry, tout le monde s’est resservi ! La prochaine fois, je tenterais sans doute d’inclure du manioc mûr (cuit vapeur) dans le mixage, ça a un goût vraiment particulier pas loin du fromage fort justement et la texture élastique de sa fécule peut également être exploitée.
Merci pour ces recettes. Je suis en transition de végétarienne à végétalienne, et oui, le truc très dur à arrêter, c’est le fromage. Alors je vais essayer ces fromages de cajou pour faire office de substitution. En plus j’adore les cajous (en réalité, hier j’ai acheté des noix de cajous pour tester la recette… mais je les ai toutes mangées, alors je suis allée en racheter aujourd’hui).
N’ayant pas de mixeur mais un moulin à café (dans lequel il faut évider de moudre des choses humides), je vais tester en mixant d’abord et faire tremper dans l’eau ensuite (en mettant peu d’eau parce que rincer de la poudre ça risquerait d’être un peu compliqué…). Je vous dirai ce que ça donne.
Sinon, pardonnez le HS mais en tant qu’UD (usagère de drogues) et militante pour les droits des UD, je me sens obligée de commenter ça : « replaçons les choses dans leur contexte : si un alcoolique ou un toxicomane se rend en centre de désintoxication, va-t-on lui conseiller d’y aller ‘modérément’ et de ‘boire moins’ ? Non, on le privera totalement de ces substances, ce qui engendrera alors un état de manque temporaire, mais permettra à terme à l’organisme de perdre toute dépendance physiologique. »
Si on replace les choses dans leur contexte, la désintoxication n’est (et de loin) pas le soin le plus efficace pour aider les UD, et ce n’est pas le seul. Il y a la substitution, la consommation en limitant les risques (ce qu’on appelle la RDR). Quant aux cures de désintoxications, le sevrage « à la dure » tel que pratiqué dans les années 70 et 80 (auquel s’ajoutait parfois des brimades psychologiques ou même physiques) ne se fait (heureusement) presque plus. Les UD consomment majoritairement pour faire diminuer une souffrance psychique (et/ou physique, parfois), ajouter de la souffrance empire les choses. Le sevrage brut avec son lot de douleurs, de nausées, de fatigue et de déprime, est donc contre-productif. On pratique plutôt des sevrages progressifs ou des sevrages accompagnés, avec des médicaments pour calmer les effets du manque, ou un traitement de substitution sur un temps court.
Les sevrages à la dure, lorsqu’ils sont pratiqués, le sont à la demande du patient. En effet, nous sommes tou-te-s différent-e-s, et nous avons donc des modes de sevrage différents. Par exemple, personnellement lorsqu’il y a plusieurs années j’ai essayé d’arrêter complètement l »héroïne (plus à la demande de mes proches et de la norme que de moi-même), j’ai tenu six mois en déprimant et en compensant avec la nourriture, pour finalement craquer et me remettre à l’héroïne avec frénésie, à une fréquence endiablée, comme si je devais rattraper le temps perdu à être « clean »… Tandis que chaque fois que je considère ma consommation trop élevée et que je me fixe pour but de la diminuer, voire de faire une pause, mais sans jamais penser « arrêt total », je diminue progressivement, et il n’y a plus de frénésie de grosse consommation. Pour d’autres personnes la diminution progressive sera impossible à pratiquer et il leur faudra arrêter d’un seul coup pour arriver à un résultat satisfaisant. Il en est de même pour l’héroïne que pour n’importe quelle addiction ou consommation excessive, fromage y compris : il y a différentes méthodes pour arrêter parce que nos addictions sont avant intimes et personnelles et intrinsèquement liées au psychisme, à l’individualité, à l’histoire de chacun-e.
Pour finir, dans le cas de l’alcool, un sevrage brutal sans accompagnement médical et médicamenteux est très dangereux et potentiellement mortel, il y a risque entre autres de crises d’épilepsie ou de délirium tremens.
J’approuve complètement ton paragraphe concernant les personnes sujettes aux addictions. En tant qu’ancienne educ’ en CSAPA avec hébergement, j’ai pu observer bon nombre d’addiction (notamment des problématiques alimentaires parfois induites par l’arrêt de substances ou par un déficit de l’estime de soi). Le sujet est tellement vaste, qu’il faudrait 100 pages pour en parler sans généralisé, mais ton petit paragraphe m’a fait plaisir. Enfin quelqu’un d’informée ! Je t’envoies toutes mes ondes positives et mon soutien par rapport à ta réduction de consommation (je ne parlerai pas ici de mon expérience plus personnelle face aux addictions, mais tu peux me joindre via mon blog si tu souhaites en discuter et on discutera en privé 🙂 )
[…] https://antigone21.com/2014/01/23/comment-faire-des-fromages-vegetaux-le-b-a-ba/ […]
Bonjour et bonne année 2016 !
En ce premier janvier, ma première résolution et de passer au végétarisme. J’ai du faire face à une opération de l’estomac en juin 2015 ce qui a eu pour conséquence de ne plus pouvoir manger de viande et de produits laitier animaux sans être malade à en mourir… Du coup, mon corps m’a poussé dans la direction du végétarisme/végétarisme… Et j’ai décidé de m’y mettre vraiment dès aujourd’hui, car je me sens prête et motivé (après 6 mois pour faire mon deuil d’une alimentation omni !!).
Le fromage… Le lait… Mes ingrédients fards, inconditionnel de mes en-cas, repas et autre grignotages… Et patatras, je trouve une alternative vegan presque infini aux niveau des saveurs, textures et découvertes culinaires !! Mais c’est sublime !!!
Merci !
J’ai déjà arrêter les laits animaux, privilégiant les laits de noisettes, amandes, etc… Mais le fromage restait profondément ancré, bien que ça me foute malade. Et grâce à toi, je vais retrouvé ce plaisir, en meilleur, plus sain et tout ?! Mais je t’aime d’amour (coeur avec les doigts et paillettes dans les yeux hein !).
Du coup, une question me taraude… J’ai des graines de lin à la maison, et je sais que c’est un oléagineux. Pensez vous (oui je m’adresse à toutes et tous sur ce coup là !) que ça pourrait être sympa niveau goût de base (genre pas amer) ?
En tout les cas, merci pour ce magnifique blog, autant pour les recettes qui rende belle, les recettes qui font manger autrement, les articles, les idées, les infos, les photos qui donne envie, les petits bout de toi… Merci pour ce partage qui (personnellement) me guide et m’accompagne dans mon changement…
Mille merci Antigone (et en plus t’es vachement belle… Siiiiiiii, j’ai vu une photo d’abord !!)
[…] addictives. Mais on craque aussi pour une tranche de fromage ! Et cet article explique pourquoi : https://antigone21.com/2014/01/23/comment-faire-des-fromages-vegetaux-le-b-a-ba/. Ce que je veux bien croire en tant qu’ancienne addict au lait (jusqu’à un litre par […]
[…] Elle donne plein de déclinaisons de fromages de cajou (j’ai testé aussi le fromage « rôti » un régal !). Attention vous allez baver d’envie, et en plus les photos sont sublimes : Comment faire des fromages végétaux, le b.a.-ba. […]
Bonjour, sympa ces recettes, elles font envies, j’ai une petite question, j’ai fait une recette avec du tofu
Des noix de l ail, délicieux est ce que je pourrai congeler
Merci a vous
Chada
Merci Chantal ! Aucune idée, je n’ai jamais essayé, mais je ne suis pas très sûre que cela marche…
[…] alors à proposer davantage de recettes de tous les jours, simples et accessibles. Pensez à mes fromages végétaux, mes falafels et mon houmous, mes laits et crèmes de cajou, mes crêpes de la […]
[…] […]
[…] Voici un autre lien à visiter pour des recettes de fromage vegan qui ont l’air top sur le site Antigonexxi… https://antigone21.com/2014/01/23/comment-faire-des-fromages-vegetaux-le-b-a-ba/ […]
Bonjour ! Je n’ai pas de mixeur pour les noix de cajou, en revanche j’ai de la purée de cajou. Peut-on l’utiliser pour remplacer les noix à mixer ? Dans quelle proportion ?
Merci beaucoup !
Non, malheureusement !
[…] ça recette est ici […]
Merci !!! Maintenant y a plus qu’à !!! Je comprend maintenant pourquoi je suis accro aux fromage !!! Plus de viande, ni de lait d’ animaux mais difficile effectivement pour le fromage… Je vais donc me lancer dans vos recettes dès ce week end. Encore merci je reviens dès que j’aurai dégusté pour donner mes premières impressions. Anneso.
[…] à base de noix de cajou dont la recette s’inspire du site d’Ophélie, Antigone XXI, là. Moi, pour faire mon fromage végétal, je fais tremper 100 g de noix de cajou pendant la nuit, je […]
Ophélie, si je comprends bien, tu fais la fermentation de ton fromage fermenté dans un récipient hermétique bien fermé ? Pourquoi ne pas le laisser à l’air libre ? J’ai essayé à l’air libre (simplement enfermé dans un torchon), et ça m’a semblé bien marcher.
C’est juste ici parce qu’on utilise un appareil qui chauffe la préparation, comme la yaourtière, et cela permet d’aller plus vite et de faire fermenter le fromage plus vite. Le goût obtenu est aussi assez différent. Mais tu peux aussi tout à fait le faire à l’air libre ! Personnellement, j’ai toujours un peu peur que mon fromage ne tourne si je le laisse trop longtemps à l’air libre, mais je suis une froussarde ! 😉
C’est noté ! Merci pour ta réponse, Ophélie 🙂
Bonour et merci pour cette article!
Etant intolérante au lactose j’ai cessé ma consommation de produits laits avznt de m’ouvrir au vegetalisme donc cette article me comble!
Une question : n’importe quel type de levures fonctionnent-elles?
Merci d’avance!
Il s’agit de levure maltée ou de levure de bière, pas de levure de boulanger ! 🙂
Premier essaie et… Que c’est bon!! Et facile à faire en plus de cela, rapide.
Je suis vraiment impressionnée par la texture crémeuse qui se tient bien. Et ce goût 🙂 unique et divin! Je le recommande avec enthousiasme.
Merci beaucoup! 🙂
Allo Ophélie ! Je t’écris depuis le Québec ! J’ai testé le fromage à tartiner et le rôti ce weekend et les résultats étaient très concluants 🙂 Aussi j’aimerai réaliser un article sur mon test des fromages végétaux (commerce et recettes de blogs) et je souhaitais donc savoir si tu me permets de parler des tiens en mettant un lien vers ton blog évidemment ? Merci d’avance ! Belle semaine à toi 😀
Fanny
Oui, bien sûr, pas de souci ! Merci 🙂
Super merci 🙂 voilà c’est un tout petit article sans prétention, mais ça me permets d’introduire un peu la notion de végétalisme auprès de mes proches comme ça 🙂 Merci encore pour toutes tes recettes Ophélie !